Pachamama
Parce que c'est elle qui nourrit et elle qui s'ouvre pour nous recevoir une fois mort, elle qui abreuve autant qu'elle inspire, je m'incline. Je baise ta poussière à chaque bouchée ingérée et je me régale des beautés des espèces qui te parcourent et de celles qui s'agrippent à ton écorce. À tous les jours, je sais que c'est de toi que je viens, que c'est de ton sein que je bénéficie du temps pour te contempler. Chère mère. L'ultime. La vie.
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