Un peu de onzième
S. et moi parlons pendant ma pause du matin. Je profite souvent de cette paranthèse au onzième pour faire coucou à ceux que j'aime, mes amis, ma famille. S. me rappelle notre conversation à propos des rêves que nous avons eu dernièrement. Est-ce à partir de ce que j'en avais dit sur mon blogue, il y a quelques semaines? Je ne m'en souviens plus trop, mais je sais que nous en avions discuté. Elle aussi se souvient beaucoup de ses rêves.
Elle me raconte que dans la nuit de lundi, elle a rêvé à un vieil ami. Il y a plus de quatre ou cinq qu'elle ne l'a vu. Ensemble, dans son songe, ils boivent et rigolent. Le lendemain, en parlant avec une de ses amies qu'elle doit rencontrer, l'amie lui dit qu'elle a veillé tard, occupé à fêter avec cet ami, celui-là même auquel S. a rêvé. Je blague et je lui dis de poursuivre ses progrès et de continuer ses observations. Nous sommes des scientifiques, tout ce qu'il y a de plus ludiques. Nous nous régalons des bizarreries de la vie.
De mon côté, j'ai rêvé à B. toute la nuit de lundi. Pas difficile de faire le lien avec les adieux déchirants qui ont précédé mon coucher. Je revois l'image de B. qui pleure et qui demande, abasourdie, pourquoi GM a quitté la chambre. "Parce qu'il le faut", que ma mère lui répond, "elle n'est plus capable". B. et GM sont comme une paire de fesses. B. parle de GM en disant "ma blonde" affectueusement. Dans le hall, avant de rentrer chacun chez soi à bord de nos véhicules garés dans le stationnement du Hilton de l'aéroport, GM me dit en me serrant: "Maintenant, on va veiller l'une sur l'autre". Le onzième, c'est là que toute cette amitié partagée et raméfiée a germé. C'est là que ça va continuer.
Elle me raconte que dans la nuit de lundi, elle a rêvé à un vieil ami. Il y a plus de quatre ou cinq qu'elle ne l'a vu. Ensemble, dans son songe, ils boivent et rigolent. Le lendemain, en parlant avec une de ses amies qu'elle doit rencontrer, l'amie lui dit qu'elle a veillé tard, occupé à fêter avec cet ami, celui-là même auquel S. a rêvé. Je blague et je lui dis de poursuivre ses progrès et de continuer ses observations. Nous sommes des scientifiques, tout ce qu'il y a de plus ludiques. Nous nous régalons des bizarreries de la vie.
De mon côté, j'ai rêvé à B. toute la nuit de lundi. Pas difficile de faire le lien avec les adieux déchirants qui ont précédé mon coucher. Je revois l'image de B. qui pleure et qui demande, abasourdie, pourquoi GM a quitté la chambre. "Parce qu'il le faut", que ma mère lui répond, "elle n'est plus capable". B. et GM sont comme une paire de fesses. B. parle de GM en disant "ma blonde" affectueusement. Dans le hall, avant de rentrer chacun chez soi à bord de nos véhicules garés dans le stationnement du Hilton de l'aéroport, GM me dit en me serrant: "Maintenant, on va veiller l'une sur l'autre". Le onzième, c'est là que toute cette amitié partagée et raméfiée a germé. C'est là que ça va continuer.
2 Comments:
Parlant d'onzième, je t'invite à jeter un coup d'oeil au site
www.11h11.com
Merci pour le lien. C'est une mine de créativité.
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