humaine sous ma cape
J'ai contacté la clinique référée par mon amie de toujours Jl. hier après-midi et comme ça, en claquant des doigts, j'ai obtenu un rendez-vous pour le soir même avec l'ostéopathe de mon choix. Wow, magique. Annulée donc la rencontre qui devait avoir lieu demain avec S. O. parce qu'au final, je sais qu'elle n'aurait pu m'offrir de suivi que dans un autre mois et qu'avec Y., mon nouvel ostéo, j'ai déjà un second rendez-vous de booké pour la semaine prochaine.
Avec Jl., mon amie de toujours, nous nous demandons comment il se fait que malgré que nous nous parlions presque à tous les jours entre le lundi et le vendredi depuis plus d'un an maintenant parce que nous nous retrouvons toutes les deux en congé de maternité en même temps, nous nous demandons comment il se fait qu'elle ne m'ait pas référé cette clinique avant ce lundi. Pourtant, c'est un endroit auquel elle a envoyé son père l'été dernier pour soigner une lombalgie, un endroit qu'elle connaît donc depuis un certain temps, avant en fait que mon mal de dos ne commence. Mais voilà, dans la vie, il y a de ces mystères et que, blindée de mon positivisme fataliste, je sais que c'est pour une raison. Laquelle de raison, j'ai ma petite idée.
Disons que dimanche soir dernier, la veille de ce lundi où Jl. m'a parlé de cette clinique, M. a dû serrer les dents face à une moi renfrognée pas à peu près. Renfrognée parce que brûlée, épuisée, réduite en purée. M., mon chêne. Qui tient bon quand je tempête. Et qui m'aidera à décharger ce poids qui me scie en deux lorsque je veux me reposer profondément. Parce qu'il a vu mon masque d'invincibilité se lézarder. Parce qu'il connaît ma fragilité.
1 Comments:
je suis bien triste de lire que ton dos te fait encore tant souffrir.
j'espère de tt coeur que ton nouvel ostéo pourra aider ton corps à retrouver son équilibre.
bisous
jo
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